Les Ivoiriens élisent samedi leur président de la République, dix ans après la crise postélectorale. Elle a fait 3.000 morts. La situation est tendue, deux principaux opposants ont lancé un mot d’ordre de désobéissance civile, sans se retirer de la course à la présidentielle. L’incertitude plane sur la bonne tenue du scrutin tout comme sur les jours après le vote.